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| La sentence concernant l'arrêt du coeur-poumon artificiel au cas où le coeur s'arrête de battre Question 1, 2 : Dans les cas où l'état du malade ou d'accidenté nécessite sa liaison aux appareils qui assurent mécaniquement le fonctionnement du coeur et des poumons, s'il est prouvé à travers les machines, qui fonctionnent d'une manière périodique, durant les vingt quatre heures, que le cerveau n'émet aucun signe, ce qui indique qu'il s'est arrêté complètement de fonctionner durant cette période, et prouve, de point de vue médical, la mort de patient est-il permis dans ce cas d'arrêter les appareils qui fonctionnent le coeur et les poumons d'une manière automatique?
Il faut mentionner que la mort du patient ne sera déclarée qu'après la confirmation de l'arrêt du coeur après le détachement de ces appareils et l'apparition des signes reconnus selon la Charia. Réponse 1,2 : Si la situation est telle que mentionné dans la question, il est permis d'arrêter les appareils qui font fonctionner le coeur et les poumons automatiquement, tant que le coeur ne bat plus, et tant que la respiration n'existe pas sans les machines ; car dans ce cas, le malade est mort, et le fonctionnement du coeur et des poumons dépendent des machines et non de la vie de la personne, mais il faut confirmer sa mort après le détachement des machines et avant la déclaration de sa mort pour s'assurer de son soulagement complet. Le Comité Permanent des Recherches Scientifiques et de la Délivrance des Fatwas Vice président de la commission : 'Abd-Ar-Razâq AffifîLe président : `Abd-Al-`Azîz ibn `Abd-Allah ibn Bâz [Extrait des Fatwas du Comité permanent] Q (1, 2) de la Fatwa numéro (6619).
( Numéro de la page: 325) |
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